La première SCIC (société coopérative d’intérêt collectif) est apparu dans le paysage de l’Aube.
C’est grâce à la solidarité des habitués que l’idée d’un changement de statut est apparue. Cette structure offre un concept alliant le monde de la musique tout en savourant un café.
L’entreprise a su perdurer malgré les effets du confinement sur les cafés-bars. Désormais elle assure ses activités en tant que SCIC. La reprise a permis d’opérer un pouvoir démocratique avec comme valeurs :
« une personne compte pour une voix »
Nous pouvons dénombrer une cinquantaine de sociétaires investi dans ce projet. La cogérance est assurée par Margaux Six, Antoine Dierstein et Laurence Vincent-Weiss qui officient en tant que bénévole et passionnés. Cette transformation a garanti la conversation de ce lieu hors du temps.